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J'ai joint à ce dossier la convocation du CCAS à propos de mon comportement inapproprié. C'est, je suppose, au sujet de ce que j'ai écrit dans mon article relatif à la pétaudière. Les deux dames du CCAS vont chercher à me tirer les vers de mon nez. Alors je vole à leur secours, je leur prépare les réponses à ce qui les fait sauter au plafond. Rien dans ce que j'ai écrit n'est contraire à la loi. Les noms sont indiqués clairement comme cela se fait quand un journaliste écrit à propos de quelqu'un, mais si ce quelqu'un va être traduite en justice, d'ordinaire on note monsieur X ou madame X. Oui les deux dames vont me mettre sur leur gril; je les invite à lire attentivement la lettre de monsieur le grand maire de Gières qui envisageait de me déloger de la résidence Meffreys; de m'expulser au motif que j'ai eu, en sa résidence, un comportement inapproprié; j'ai transmis sa lettre à la préfecture et au procureur de la République; sa menace est tombée à l'eau. Et maintenant ce sont les deux dames qui remettent héroïquement le couvert; elles doivent s'attendre à être servies de la même façon. Elles font preuve d'un comportement tout à fait inapproprié : envisager de m'exclure de la résidence, moi, bientôt nonagénaire, c'est être inhumain, et, de la part des deux dames, payées par les contribuables de Grenoble, c'est un comble. Elles ont la ferme intention de me chasser de mon studio à cause de mes deux ou trois métaphores qui leur font horreur. Bien sûr, je ferai lire ce courrier à la police et lui demanderai d'enregistrer ma plainte pour harcellement moral sur personne âgée : on a l'intention de m'expulser de mon studio, moi qui serai bientôt nonagénaire. Expulsion envisagée, bien sûr, sans l'intervention d'Eric Piole, maire de Grenoble, contrairement à son homologue de Gières, Pierre Verri. bientôt la suite A Grenoble, résidence Montesquieu, le 20 juillet 2025 Gérard Jeanneau, professeur de lettres classiques, toujours en activité à l'Université de Louvain. pétaudière la fameuse convocation .
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